Un des morceaux les plus connus, est l'anneau du Niebelung, issu de la tétralogie norvégienne, exécuté pour la première fois en 1876. Du prologue, l'or du Rhin, au dernier acte, le crépuscule des dieux, tout baigne dans le mythe des Niebelung et de sa florissante histoire.

Niebelungen

HAENDEL composa quant à lui sur le thème d'Héraclès, une suite d'Oratorios, où il s'est plut à faire chanter les souffrances du héros, plus qu'à conter ses exploits.

Hercule (Heraclès)

Icare, fut un ballet de Serge LIFAR (1935) - Iphigénie devint un opéra de GLUCK (Iphigénie en Tauride), alors que le même thème fut abordé également par SCARLATTI, PICCINNI et CHERUBINI.

MELHUL composa en 1811, un opéra en trois actes, sur les Amazones. Ariane passa à la postérité, si besoin en était encore, quand Friedrich HAENDEL en fit musicalement " Ariane à NAXOS ", thème d'inspiration pour également MASSENET, Richard STRAUSS et Darius MILHAUD.

L'immense Richard WAGNER, créa un opéra en trois actes, La Walkyrie, retraçant l'épopée des Dieux Germaniques, qui asservirent l'humanité.

Mais Wotan, premier de ceux-ci, imagine une monde libéré de la malédiction de l'or. Il enfante alors avec la déesse Erda, neuf vierges guerrières, les Walkyries - donnant leur nom à l'œuvre -.

Wotan descend sur terre, afin de récupérer un anneau magique, et enfante avec une mortelle, des jumeaux, Sieglinde et Siegmund.

Ils sombrèrent hélas à l'inceste que Fricka, souveraine des lois sacrées, ne put pardonner, et demanda à Wotan de punir Siegmund…

Voici dévoilée une petite partie de l'histoire.

Orphée

Le testament d'Orphée

Enfin, pour clore cette mini-énumération, Orphée devint un opéra de GLUCK , à nouveau , en l'an de grâce 1774.