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LES DOMAINES CINEMATOGRAPHIQUES A VENIR


Que nous réserve l’avenir, que nous disent les futurologues, sur celui-ci, donc sur les domaines nouveaux à développer dans le cinéma fantastique.

L’accélération soutenue et sans faille, notamment de ce dernier siècle, nous permet à peine d’imaginer ce que sera la terre dans un siècle.

Dans certains domaines, la poussée se poursuivra sans doute (informatique, robotique, biologie...). Dans les moyens de locomotion terrestre, cela commence déjà à s’essouffler, les contraintes techniques et surtout financières, viennent à bout des esprits les plus fertiles.

Quelques pistes vont suivre sans prétention aucune, mais elles me paraissent encore neuves, ou sous-utilisées à ce jour, mais elles seront donc évoquées, plus que développées.


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LA TAILLE FUTURE DE L'HOMME



Celle-ci ne cesse de croître, et les conditions de vie actuelle ne permettent pas de prédire un quelconque ralentissement, bien au contraire. Toutes les espèces vivantes, voient leur maturité arrivée, concomitamment à leur taille.


Le sixième continent

Le géant de la steppe

Ce fut le cas des dinosaures, à l’image des ptérodactyles, dont les premiers mesuraient à peine quatre mètres, et les derniers, avant leur extinction, environ 14 mètres.





Or, il est vrai également que, plus l’espèce est petite, plus sa chance de survie est grande, en cas de cataclysme quelconque.

La taille de l’homme, quant à elle, va en progressant. Lucie, il y a environ 3 millions d’années, ne mesurait guère plus d’un mètre. En 1950, la taille moyenne était 1,70 mètres pour les hommes. En 1991 , elle est passée à 1,76 mètres (1,83 pour les hollandais !). Tout ceci donc en moins de trente ans.

Portons nous, à l’échelle de l’univers, dans quelques centaines de milliers d’années (une goutte de temps, donc)...Il est possible d’imaginer des hommes de plusieurs mètres de haut en moyenne.

Quels seront ses problèmes alors, dans une terre déjà amoindrie de ses ressources, sa population toujours croissante, l’allongement de l’espérance de vie.

Notre évolution est-elle plus ou moins rapide que celle des animaux, et que représentent dans cette optique, les 3 à 6 millions d’années d’existence de l’homme ?

Du gigantisme de l’homme, naîtra peut-être son extinction