L’idée
de conserver les films, afin de les préserver pour la postérité,
ou tout simplement en disposer quand bon nous semble, est presque
aussi ancienne que le cinéma lui-même.
C’est ainsi que dès 1898, 2 ans seulement après
la projection du premier film (vraisemblablement par Boleslaw
MATUZEWSKI, opérateur oeuvrant pour
LUMIERE), était émise l’idée d’un
musée cinématographique.
Les frères lumières
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Voyage dans la lune : George MELIES
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Certes, il
s’agissait plus de préserver un patrimoine qui deviendrait
historique, mais la fibre vivace du collectionneur transparaissait
peut-être déjà au travers de cette proposition.
Depuis, les supports ont évolué, réduisent considérablement
les volumes nécessaires, et facilitent la projection privée
(plusieurs bobines jusqu’au début des années 70,
puis K7 vidéo, et enfin D.V.D., avant la sortie peut-être
d’un nouveau standard).
De fait, chacun peut collectionner à loisir, et le nombre de
fanatiques augmente un peu plus chaque jour.
Comme précisé en début du présent ouvrage
(site) , la production mondiale est telle, que même dans un
thème donné, il serait impossible pour un passionné,
s’y consacrant corps et âme, de tout voir ne serait-ce
qu’une seule fois dans sa vie.
De plus, tous les films, sont loin de comporter des caractéristiques
dignes d’intérêt quelconque, et nombre demeurent
même indigestes quelquefois. Qui n’a pas déjà
visionné un film, à grande vitesse, afin de l’effacer
après une difficile et fastidieuse projection pourtant accélérée ?
Tous ne sont pas non plus forcément connus à ce jour,
et certains mériteraient de l’être, mais sont encore
introuvables dans un pays resté longtemps réfractaire
au genre fantastique, la France, en l’occurrence.
Ainsi, de nombreux films Mexicains, Japonais, d ’Hong-Kong ou
des pays de l’Est, demeurent dans l’oubli, pour le moment
du moins, espérons-le.
Dans ce dédale
de films, télé-films, courts-métrages, et dessins
animés, il convenait donc de faire un choix.
La liste qui va suivre est par conséquent loin d’être
exhaustive, et ne comporte pas la totalité , loin de là
, de la production mondiale . Mais les principaux y sont, proches
de 93à 98 % des films connus ou dignes
d’intérêt.
Un nombre important d’oeuvres cité dans ce livre, ont
déjà fait l’objet d’approches plus fouillées
dans d’autres chapitres.
Les renseignements qui sont à cet effet apportés ci-après
en complément sous forme de tableau, permettent d’affiner
le choix , qui conduit ou non à voir le film, et surtout de
savoir déjà qu’il existe, et donc peut-être
de le rechercher, ou de l’éviter au contraire.
Est-ce que le fondement même de l’existence du collectionneur,
n’est pas avant tout d’être en quête de l’introuvable,
pour enfin l’obtenir, le savourer, puis le ranger afin que la
mémoire s’estompe quelque peu, pour un jour le ressortir,
et le contempler à nouveau.
Notons enfin, et cela sera peut-être préjudiciable un
jour à ce type de développement de passions , que des
banques de films apparaissent, notamment en Angleterre, et qu’il
sera bientôt possible de choisir le film souhaité, au
moment voulu, et cela sans aucun effort de déplacement physique
ni de recherche, le tout étant stocké dans un appareil
central, et distribué via les satellites. Tout à
la portée de tous (§
9-13-les domaines cinématographiques à venir)
La cinémathèque, vidéothèque
et DVDthèque auront alors vécu.
Méthodologie/Signification
|
TITRES
: Titre du film – La première
colonne indique en premier, le titre français le plus usité
du film : s’il est : a) Français ou de pays
francophones,
b) en version Française ou
c) sous-titré, dans sa forme la plus connue.
S’il n’a pas fait l’objet de large diffusion en
France, et qu’il demeure souvent en version originale non sous-titrée,
le titre premier sera souvent présenté dans sa langue
d’origine.
Dans les deux cas, si le film est connu sous un deuxième titre,
et sous réserve de la place disponible à l'origine dans
la première colonne (il s'agit en effet d'un tableau Excel
transformé en banque de donnée Access ) , celui-ci est
également indiqué.
L’utilisation de l’Anglais n’est pas de fait systématique.
Si le titre français est connu, et en tous cas vulgarisé,
il sera préféré au titre anglais ou original,
même si seule la parution en vidéo-cassette ou DVD, a
popularisé le titre.
Notons également que trois, voire quatre titres peuvent de
ce fait vous être proposés,et que tous sont intégrés
dans le lexique alternatif de fin d’ouvrage.
Quelques titres peuvent être en langue Française, mais
tirés de la traduction qu’en ont faite nos amis Belges,
apparemment plus en avance que la France, en ce domaine. Des différences
peuvent, dans ce contexte aussi, apparaître.
Ordre alphabétique :
c’est celui proposé par les logiciels compris
dans les tableurs informatiques, ainsi :
- les chiffres sont toujours mis
avant les lettres, le programme se chargeant de les classer dans l’ordre
croissant, qui n’est pas celui de la valeur du nombre, tous
chiffres confondus (ainsi 1984 sera avant 20 000 lieux sous les mers)
A cet effet, seuls les titres couramment indiqués par un nombre,
seront présentés tels que 1984, 2010, 4,3,2,1, opération
lune...
- l’espace est considéré
comme situé avant la lettre « A » (A
des millions de kilomètres de la terre, précède
donc Abattoir 5). De même, le point « .
» précède toujours une lettre (M.A.L.
devance donc Ma belle mère est une sorcière).
Les articles « le »,
« les », « la »,
« l’ »
(exhaustivement), sont toujours placés après le premier
mot principal du texte, qui les suit [Ex : abominable Docteur
PHIBES (l’)]. Ce choix a été délibérément
effectué, et demeure très facile à se rappeler,
(donc à appliquer) . Il fut fait en raison du grand nombre
de titres (donc de noms communs ou de noms propres), commençant
par ces articles.
Par contre, « du », « des »,
« un », « une », « je »....seront
placés alphabétiquement en tête du titre.
La règle sera la même pour les titres en langues étrangères,
ce qui ne manquera pas de poser quelques problèmes afin de
peut-être s’y retrouver, y compris à votre serviteur
. En général, les syllabes « courtes »
représentent un article placé entre parenthèse,
et en fin de titre.
L’écriture en MAJUSCULE permet de faciliter la lecture,
pour des caractères dont la taille a déjà été
réduire, afin d’optimiser le degré de remplissage
de chaque cellule du tableau ( tableur Excel à l'origine ).
En
cas de problème, tout a été prévu, et un
lexique général reprend complètement tous les titres,
des deux colonnes du tableau, en donnant la correspondance croisée.
Tous les titres (hors films français) ne bénéficient
pas néanmoins de deux titres, et le tableau ne demande à
cet effet qu’à être complété. Il le
sera au fil du temps, lors de parutions dont la forme est à affiner
avant mise en oeuvre.
En tout état de cause, la quasi totalité des films Français
ou francophones n’auront qu’un titre, celui de notre langue
maternelle.
* : veut dire
que le film est non fantastique, mais il fut maintenu dans le tableau,
en raison de la participation des maîtres du fantastique, et notamment
Boris KARLOFF, Bela LUGOSI ou Vincent PRICE, ou en raison des qualités
indéniables de l'oeuvre ( techniques, d’interprétation...
) , ou par la beauté de ses couleurs (Ex. Les aventures de
Robin des Bois).
Malgré toute la vigilance nécessaire à l’établissement
du fichier, il est probable que des redondances de films s’y soient
immiscés, notamment en raison de la sortie des films sous de
nombreux titres différents. N’hésitez pas à
faire part de vos observations, elles seront également prises
en compte.
Voici d’ores et déjà quelques films , dont les renseignements
connus permettent d'avouer que soupçons il y a, sans en être
totalement sûr, pour ne pas avoir pu visionner l’ensemble
des films cités :
G
: Genre – Celui-ci fut longuement développé
lors du chapitre 8-5.
Rappelons que le genre n’est pas à confondre avec le
thème.
Chaque genre a été repéré avec deux
lettres, facile à se rappeler (FA
= fantastique, SF = science
fiction), mnémoniquement (de Mnémosyne, mère
des Muses et déesse de la mémoire– la mythologie
est bien partout).
Deux sont en général indiqués, afin de donner
le plus de renseignements possibles, sur le contenu du film. Le
premier cité, est celui prépondérant dans l'oeuvre
(Ex. SF –
FA ® plus
science-fictionnel que fantastique).
A
: Année – C’est celle de la première
parution. Une année de décalage est souvent admise
en général, surtout quand le film chevauche d’une
sur l’autre, bien que les firmes indiquent elles-mêmes
très exactement l’année de réalisation.
D
: Durée – C’est celle mesurée
en général au visionnage, et à défaut
celle relevée par différentes sources. Elle est donc
indicative, et peut être précise à une minute
près, ou comporter quinze minutes d’écart par
rapport à ce que vous pensiez, ou à la version que
vous possédez.
Tout en souhaitant être assez précise, c’est
néanmoins une durée approximative, qui peut permettre
de ne pas trop se tromper dans le choix de la durée du support
d’enregistrement, ou de savoir pendant combien de temps environ,
vous allez vous délecter, ou à contrario vous ennuyer.
C
: Procédé couleur – La couleur est
indiquée par la lettre « C »,
de même que les films colorisés. Tout film antérieur
à 1933, portant la mention « C », est
forcément colorisé. Le Noir et Blanc est mentionné
par la lettre « N ».
P
: Pays – Ils sont indiqués par un abrégé
d’une ou deux lettres. Ces raccourcis de présentation
jalonneront lesrecherches de données , et permirent d'entrer
un grand nombre de renseignements à l'origine (tableur Excel
) sur une espace condensé. Pour les co-réalisations,
seul le pays prépondérant sera mentionné.
A noter que ces raccourcis le sont à partir du nom du pays
en français , toujours dans la logique transversale (site
en langue française) . Ainsi EU
(Etats Unis ) aura été préféré
à USA (United States of America ) .
AF
|
AFRIQUE DU SUD
|
IS
|
ISLANDE
|
AL
|
ALLEMAGNE (S)
|
IT
|
ITALIE
|
AN
|
ANDORRE
|
JA
|
JAPON
|
AR
|
ARGENTINE
|
LU
|
LUXEMBOURG
|
AS
|
AUSTRALIE
|
MA
|
MALAISIE
|
AU
|
AUTRICHE
|
ME
|
MEXIQUE
|
BE
|
BELGIQUE
|
NO
|
NORVEGE
|
BO
|
BOLIVIE
|
NZ
|
NOUVELLE ZELANDE
|
BR
|
BRESIL
|
PB / HL
|
PAYS BAS
|
CA
|
CANADA
|
PH
|
PHILIPPINES
|
CL
|
COLOMBIE
|
PO
|
POLOGNE
|
CO
|
COREE
|
PR
|
PORTUGAL
|
CU
|
CUBA
|
PT
|
PORTO-RICO
|
DA
|
DANEMARK
|
RU
|
RUSSIE (ou Ex U.R.S.S.)
|
ES
|
ESPAGNE
|
SI
|
SUISSE
|
EU
|
ETATS UNIS D’AMERIQUE
|
SN
|
SINGAPOUR
|
FI
|
FINLANDE
|
SU
|
SUEDE
|
FR
|
FRANCE
|
TA
|
TAIWAN
|
GB
|
GRANDE BRETAGNE
|
TC
|
TCHEKOSLOVAQUIE
|
GR
|
GRECE
|
TH
|
THAILANDE
|
HK
|
HONG KONG
|
TU
|
TURQUIE
|
HO
|
HONGRIE
|
VE
|
VENEZUELA
|
IN
|
INDE
|
YO
|
YOUGOSLAVIE
|
ID
|
INDONESIE
|
|
|
I
: Intérêt – Celui-ci tentera
d’être objectif, tout en ne l’étant pas. Ceci
pour deux raisons principales.
- Ce qui fut un « navet » à l’époque,
peut très bien devenir un film culte plus tard, et le temps
faisant que ... (Plan nine from outer space)
- Il convient de toujours transposer le film au moment de sa réalisation,
en fonction de la technologie de l’époque, mais aussi
du « courant » y régnant.
La classification est alors ainsi proposée :
0 – Zéro pointé.
Ne perdez pas votre temps.
1 – Film à contourner.
Il y en aura très peu dans cet ouvrage (ce site ) . Evitez
de dilapider votre temps.
2 – A visionner quand vous
aurez le temps.
3 - A regarder dès que vous
aurez le temps.
4 – A savourer impérativement.
Prenez vite le temps.
5 - Chefs d'oeuvres incontournables
– A ne manquer sous aucun prétexte – A déguster
de suite, puis de temps en temps.
Ces propositions s’appliquent dans le genre FANTASTIQUE / SCIENCE
FICTION, qui, comme chacun sait, ne bénéficie que très
(trop) rarement d’une critique favorable. Les côtes seraient
dans un autre contexte à diminuer globalement d’un, voire
deux points pour certains.
Mais tel n’est pas le cas dans cet ouvrage(ce site) , consacré
aux inconditionnels.
S
: Sociétés de production ou de distribution –
Elles seront représentées par des abréviations,
que le tableau ci-dessous récapitule. Beaucoup manquent pour
le moment, et feront l’objet d’ajouts ultérieurs.
Il n’a pas été permis, dans l’espace disponible,
de distinguer producteur et distributeur. Un seul a pu être indiqué,
et choisi en fonction de sa notoriété, ou des renseignements
disponibles.
FIRME/MAISON DE PRODUCTION
|
Abrév.
|
FIRME/MAISON DE PRODUCTION
|
Abrév.
|
FIRME/MAISON DE PRODUCTION
|
Abrév.
|
A BON
|
ABO
|
|
ELAN
|
ELA
|
|
POLYGRAM
|
POL
|
ABC
|
ABC
|
|
ELYSEE
|
ELY
|
|
PRC
|
PRC
|
ABEL FILMS
|
ABF
|
|
EUROP
|
EUR
|
|
PROGRES
|
PRO
|
AMERICAN INTERNATIONAL PICTURES
|
AIP
|
|
EXCELSIOR
|
EXC
|
|
RANK
|
RAN
|
AMERICAN INTERNATIONAL
|
AI
|
|
EUROP FILM
|
EUF
|
|
REPUBLIC
|
REP
|
ALFA
|
ALF
|
|
F VAN LO
|
FVL
|
|
RKO
|
RKO
|
APOLLON
|
APO
|
|
FAMA
|
FAM
|
|
ROSSEL
|
ROS
|
ATLANTIC
|
ATL
|
|
FILIMPEX
|
FIL
|
|
ROYAL
|
ROY
|
ATLAS
|
ATA
|
|
FILM SONOR
|
FIL
|
|
SBDC
|
SBD
|
BAC FILMS
|
BAC
|
|
FILMS 31
|
F31
|
|
SEDEF
|
SED
|
BELGA
|
BEL
|
|
FOX
|
FOX
|
|
SEWELL
|
SEW
|
BENELUX
|
BEN
|
|
GAUMONT
|
GAU
|
|
STANDARD
|
STA
|
BIFO
|
BIF
|
|
GD
|
GD
|
|
STELLOR
|
STE
|
CBS
|
CBS
|
|
HORIZON GROUP
|
HOR
|
|
TITANUS
|
TIT
|
CCB
|
CCB
|
|
IBIS
|
IBI
|
|
TITANUS
|
TIT
|
CED
|
CED
|
|
IMAGE FILMS
|
IMA
|
|
TOHO
|
TOH
|
CENTRA
|
CEN
|
|
IMPERIAL
|
IMP
|
|
TRANSIT
|
TRA
|
CENTURY
|
CET
|
|
INDEPENDANT
|
IND
|
|
TRI STAR
|
TRI
|
CIC
|
CIC
|
|
INTERNATIONAL
|
INT
|
|
TROMA
|
TRO
|
CINE CITA
|
CCI
|
|
LER
|
LER
|
|
TWENTHIEF CENTURY-FOX
|
TWE
|
CINE LIBRE
|
CIL
|
|
LIBERTY
|
LIB
|
|
UA
|
UA
|
CINE VOG
|
CIV
|
|
LUXOR
|
LUX
|
|
UGC
|
UGC
|
CNC
|
CNC
|
|
MELIOR
|
MEL
|
|
UIP
|
UIP
|
COBELCINE
|
COB
|
|
MERCURY
|
MER
|
|
UNION
|
UNO
|
COGECINE
|
COG
|
|
METROPOLITAN
|
MET
|
|
UNITAS
|
UNT
|
COLUMBIA
|
COL
|
|
MGM
|
MGM
|
|
UNITED ARTIST
|
UNA
|
5 CONTINENTS
|
5CO
|
|
MONOGRAM
|
MOG
|
|
UNIVERSAL
|
UNI
|
CORONA
|
COR
|
|
MONOPOL
|
MON
|
|
VB FILM
|
VBF
|
COSMOPOLIS
|
COM
|
|
MPA
|
MPA
|
|
VDS
|
VDS
|
COSMOS
|
COS
|
|
MPG
|
MPG
|
|
VENUS
|
VEN
|
DASKA
|
DAS
|
|
OBF
|
OBF
|
|
VESTRON
|
VES
|
DECO
|
DEC
|
|
OCCIDENTAL
|
OCC
|
|
TROMA
|
TRO
|
DISCIBEL
|
DIS
|
|
OPTIMA
|
OPT
|
|
VICTORIA
|
VIC
|
DRAGON
|
DRA
|
|
PATHE
|
PAT
|
|
WARNER BROS
|
WAR
|
DREAM WORLD
|
DRW
|
|
O.R.T.F.
|
ORT
|
|
WALT DISNEY
|
WAL
|
E DE JONG
|
EDJ
|
|
OSSO
|
OSS
|
|
|
|
EFCE
|
EFC
|
|
PARAMOUNT
|
PAR
|
|
|
|
|
|
|
PARDON
|
PAD
|
|
|
|
Acteur principal – En général,
il ne peut y avoir d’ambiguïté quant au choix, un
des personnages « crevant », souvent l’écran,
même si ce n’est pas toujours celui auquel pensait le cinéaste
ou le responsable du casting. Le nom en parenthèse ( ) indique
qu’il s’agit d’ un narrateur,
ou de tout autre procédé, mais aucunement d’un acteur
vu à l’écran.
Autres acteurs – Il s’agit
des « premiers seconds rôles », en général,
incontestables, mais le débat peut toujours être ouvert
à ce sujet, ou des « co-acteurs principaux ».
Deux sont en général donnés, trois voire quatre,
si la somme des lettres prénom plus le nom est assez basse (
Rappel : conception sur tableur à l'origine).
Réalisateurs – Il peut
être double quelquefois , voire plus , mais un seul réalisateur
est en général cité dans ce tableau . Le nom indiqué,
est en général celui le plus connu, après quelques
films pour certains, de manière à immédiatement
le mémoriser. Un tableau non exhaustif donne quelques correspondance,
auteurs compris, à la fin de ce chapitre(
§ 12-4 )
Thèmes – Il fut longuement
réfléchi avant de savoir s’il convenait d’inclure
cet élément dans le tableau, puis il fut décidé
de le laisser. Pourquoi ?
Si en effet, le chapitre 10 a très longuement développé
ceux-ci, il n’est pas possible d’un seul regard, de savoir
si un film dont nous connaissons le titre, fait partie de tel ou tel
thème.
Remémorons-nous également que certaines oeuvres peuvent
comporter cinq voire six thèmes ou plus, preuve de richesse du
film, ou d’un scénariste qui n’est pas arrivé
à trouver un fil conducteur.
Cette colonne permet par contre, d’un seul coup d'oeil, de caler
correctement le titre sur un style donné. C’est ce qui
correspond au développement que nous trouvons dans les revues
spécialisées, mais résumé à quelques
mots, ce qui constitue une prouesse, avec toute l’indulgence que
requiert cet exercice de style.
Les abrégés furent de fait quelquefois obligatoires, mais
ils demeurent très faciles à mémoriser. Ils correspondent
très exactement à ceux développés déjà,
en début de chapitre 10. Ils ne seront donc pas rappelés.
QUELQUES PONCTUATIONS AYANT UN CARACTERE DE CODE
PARTICULIER
? : indique l’incertitude
(sauf quand il est dans le titre du film, où il fait partie intégrante
de celui-ci).
Italique
: constitue une indication, pour le titre du film, mais ne
fait en aucun cas partie de celui-ci.
( ) : indique une fausse
indication (Ex. : ( Vampire ) ->FAUX
VAMPIRE EN FAIT, ou indique, pour la colonne "acteurs"
, qu’il s’agit en fait des voix-off (narrateur de
films d’animation...)
-> : précise que deux
éléments sont liés, dans les thèmes (Ex. :
MUTATION-> CHIEN )
~ : indique une similitude,
sans être reconnu comme totalement exacte ou identifiée.
- : relie deux mots, dans
les genres, étroitement en corrélation.
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