Le chevalier du dragon

Gore Gore Girls .

La malédiction du diable

Sadismo .

Le grand inquisiteur

La tour de Londres

Scrapbook .

La Chambre des Horreurs .

Parts of the Family .

>> TOUS LES THEMES

Witchstory .

Un brigand connu, SINIS, avait comme coutume de lier les membres des voyageurs inconscients ou téméraires, sur deux pins préalablement rapprochés, qu’il libérait ensuite des tensions, écartelant ainsi les pauvres malheureux.

Cette scène peut être visionnée dans un des tous premiers Tarzan, avec en vedette, le champion de natation Johnny WEISSMULLER.

Le masque du démon

ESUS, dieu Gaulois, protecteur des voyageurs et pourtant monstre sanguinaire, exigeait des sacrifices humains. Ces derniers étaient écorchés et suspendus aux arbres, puis mis en lambeaux, exsangues de liquide vital.

Matthew HOPKINS, en Angleterre inquisitoriale, faisait avouer les « sorcières », par privation de sommeil, pendant 3 jours, maintenant celles-ci dans le froid.

Snuff .

Le chevillement, synonyme d’urotopegnie, consistait en une obturation des voies naturelles du corps humain, obtenue soit physiquement, soit par incantation.
Une autre manière de faire avouer même ce qui n’était pas, consistait à mettre au supplicié des brodequins de bois, en planche en fait, parfaitement ligaturés, et dans lesquels on enfonçait des coins au niveau des genoux, en frappant au maillet.

Le grang inquisiteur

L’estrapade était également utilisée, consistant à soulever le supplicié par les mains, celles-ci attachées derrière le dos, et à les laisser choir (et non pas les séchoirs) plusieurs fois d’une certaine hauteur.

D’autres tortures existaient encore, et chacune était inventée en fonction du sadisme de son initiateur, à titre d’exemples : la chaise à clous, l’élongation, les garrots, les rouleaux à épines, l’eau bouillante, l’amputation et l’ablation de membres ou d’organes...

Skinned Alive .

Les aveux obtenus, le sort était toujours le même : pendaison en Angleterre, étranglement et bûcher en France.

Aveux facilement obtenus , et à défaut , des règles bien perverses prenaient rapide ment la place . Mais jugez-en vous-mêmes : "l'inquisiteur a le droit d'obtenir les aveux de la suspecte en prpmettant une peine légère ou l'absolution , il peut aussi signifier une détention limitée à une période précise ."

Troméo et Juliette .

Un autre écrit précisait que si "deux éléments étaient contradictoires , chacun était libre de choisir celui qui lui convenait" , en l'occurrence , personne ne peut se soustraire à l'accusation , aussi illégitime qu'elle puisse paraître .

La condamnation au bûcher ne peut survenir avant la date d'expiration de cette détention . On peut lui promettre aussi l'absolution , et faire prononcer sa mise à mort par un autre juge , puis procéder à son exécution .Une telle procédure respecte le droit divin et humain."
Rien n'était laissé au hasard , et nul ne pouvait échapper à cet horrible destin , pour peu que la personne , pour son malheur , soit riche et enviée , belle et jalousée , ou qu'elle se soit simplement fâché futilement avec son voisin .
Un simple "signum diabolicum" (vérue , absés , tâche de naissance ) , suffisait à propulser au bûcher un innocent .

TRANSPOSITION AU CINEMA

Ces actes ne pouvaient laisser indifférents les protagonistes du cinéma et, entachés d’histoires, ces films donnèrent quelques titres de noblesses au 7^ème art fantastique.

Pourquoi un tel thème dans un tel ouvrage ? En fait les méfaits pratiqués sont souvent transposés dans des films d’horreurs, et ceci souvent avec des acteurs classiques de l’épouvante.

La marque du démon

Comme bien souvent, c’est Vincent PRICE qui imposa quelque peu le style, lors de trois oeuvres au moins : La tour de Londres, La chambre des tortures, et Le grand inquisiteur.

Avant lui, Boris KARLOFF s’était déjà essayé, dans la première version de La Tour de Londres, en 1939.

Le décapité Vivant .

Cette pratique à prohiber, la torture, s’expatria au fil des scènes, comme bien d’autres thèmes, afin de varier lieux, donc histoire. Nous la retrouvons ainsi dans une chambre (qui se retrouve plutôt être une pièce en sous-sol), avec La chambre des horreurs et La chambre des supplices, dans un cottage, avec Le jardin des tortures, dans un Moulin, avec celui des Supplices, et dans La tour précitée, celle de Londres, en l’occurrence.

Les plus abominables tortures furent imaginées par les nazis (§ 10-98 ), mais peu ou pas de films d’horreurs en naquirent, mais plutôt des films d’histoires sur le génocide Juif, qui demeure déjà intrinsèquement le plus grand acte d'horreur jamais commis.