PRISONNIER ( Le ) ( The Prisoner )

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PRODUCTEUR
David TOMBLIN (ITC)
REALISATEURS
DON CHAFFEY . PATRICK McGOOHAN

ACTEUR PRINCIPAL

Patrick McGOOHAN
AUTRE ACTEUR
Angelo MUSCAT . LEO McKERN . NADIA GRAY . DAVID ARLEN . FINLAY CURRIE . RICHARD WATTIS . KEVIN STONEY . CHRISTOPHER BENJAMIN . PATER SWANWICK...
Couleur

ORIGINE

G B

INTERET

5

GENRE

FA

THEME

Prison
Nombre D'épisodes
17
Saison
Durée
Année
17
1
48’
1967-1968




UNE BROCHETTE DE NUMEROS 2 . MAIS QUI EST LE NUMERO 1 ?

Saison unique


(suite)


1 -
L’ARRIVEE (Arrival)

10 -
LE MARTEAU ET L’ENCLUME
(Hammer into anvil)
2 -
LE CARILLON DE BIG BEN
(The Chimes of Big Ben)

11 -
L’ENTERREMENT (It’s your funeral)
3 -
A, B & C

12 -
J’AI CHANGE D’AVIS (A change of mind)
4 -
LIBERTE POUR TOUS (Free for all)

13 -
L’IMPOSSIBLE PARDON
(Do not forsake me, oh my darling)
5 -
DOUBLE PERSONNALITE
(The Schizoid man)

14 -
MUSIQUE DOUCE (Living in Harmony)
6 -
LE GENERAL (The General)

15 -
LA MORT EN MARCHE
(The girl who was death)
7 -
LE RETOUR (Many happy returns)

16 -
IL ETAIT UNE FOIS... (Once upon a time)
8 -
DANSE DE MORT (Danse of the dead)

17 -
LE DENOUEMENT (Fall out)
9 -
ECHEC ET MAT (Checkmate)







Patrick McGOOHAN





LIEU : une île, une autre, une de plus,

RAISONS : la démission d’un agent secret, possédant ou non des renseignements, dont il détiendrait apparemment le secret.

TRAME : de gré ou de force, il parlera... du moins le numéro 1 en est-il convaincu.


Envoûtante œuvre, dont le fantastique ne naît que par la suggestion, et l’incroyable composition de Patrick Mc GOHAN. Mais est-ce en fait un rôle de composition. Monté sur ressort, et alimenté par une pile atomique, le n° 6 nous traîne tout au long de ces 17 épisodes à peine, comme collés au téléviseur. On a beau voir et revoir cette œuvre, jamais on ne s’en lasse, hypnotisé déjà par le générique, premier vidéo-clip peut-être de l’histoire, sans vraiment le savoir. Viens ensuite la deuxième couche du générique de fin, nous incitant à en redemander. Et on en reprend volontiers.

Nous n’en savons pas plus à la fin de la série, qu’au début, mais n’est-ce pas là une des conditions, et peut-être la première, du passage à la postérité ?