La réalisation des films emprunte bien souvent des chemins obscurs, et quelquefois fortuits.

Ainsi, combien de fois les réalisateurs, ou scénaristes, se sont-ils faits piégés en insérant dans la pellicule, une partie de vie, cachée quelquefois depuis leur propre enfance (La Féline, de LEWTON : aversion pour les chats, ou l’écrivain Stephen KING – voir § 3-2-3).


Mais en général, c’est une véritable vocation, qui peut apparaître quelquefois beaucoup plus tard –(et après un grand nombre de films) - ce fut le cas de William CASTLE, déjà analysé dans cet ouvrage.

Le but de ce chapitre, n’est pas de tous les indiquer, il sont trop nombreux, et certains n’ont réalisé que quelques films qui, même s’ils furent des chef-d'oeuvres, ne permettent pas pour autant de classer ces personnes dans le style fantastique ou le science-fictionnel.



C’est ainsi que fut écarté, à grand regret , Alfred HITCHCOCK , dans un premier temps (il y est depuis) , entre autre maître de la profession. Mais un site internet entier n’y aurait pas suffit, ce qui laisse par ailleurs des ouvertures et des idées toutes tracées pour le futur.
Ce futur est déjà du passé , puisque le nombre de réalisateurs fut doublé en un an , et le plus beau est , peut-être , encore à venir .

Il convient de préciser, que les réalisateurs prisonniers volontaires d’un style où ils préfèrent exceller, furent un peu plus spécialisés que les acteurs . Choix effectué , peut-être , plutôt qu’opérer dans une certaine médiocrité , mais dans un domaine qui ne leur convenait pas . Seuls quelques comédiens par ailleurs, se sont vraiment focalisés sur un domaine, à tel point qu’ils ont pu difficilement s’écarter du genre. Cette poignée d’acteurs, pour la plupart anciens, viennent de vous être présentés.

N.B. : L’indication « (complet ) », exprime le voeu que la filmographie est bien exhaustive, en espérant que rien, justement, ne fut omis. Pour la mention « (partiel) », à vous de deviner.