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CERVEAUX
INFERNAUX, RANCUNIERS OU CONVOITES :
(Thème)
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Siège
de la pensée, de l’intelligence et du savoir de toute l’humanité,
par matérialisation, addition ou legs de l’ensemble des générations de chercheurs ou de penseurs, existant ou ayant existé . |
Années |
Filmographie
sélective |
Eléments
spécifiques au thème |
Le tueur au cerveau atomique
Le cerveau infernal
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l'homme aux deux
cerveaux
Le cerveau fut longtemps l’objet de curiosité, mais aussi de convoitise, au grand bonheur des passionnés de science-fiction. Pourtant les neurones ne se prêtent pas, un cerveau ne peut se toucher, sous peine de paralysie de parties plus ou moins importantes du corps. Mais tout cela n’y fait rien, les cerveaux intelligents, bien pleins ou bien faits, intéressent toujours les chercheurs et savants divers, qui ont tout tenté afin de se les approprier (cerveaux de rechange). the brain that wouldn't die Plus
de cent milliards de neurones dans ceux-ci, dont malgré les
capacités sensorielles et extrasensorielles (§
10-114 ), une infime partie de cette usine à
messagerie chimique, (comme le potentiel de l’ordinateur au
coin de notre bureau), est en fait utilisée. vengeance
Les mythes inhérents au cerveau et à son activité sont rares. Néanmoins, nous vient d’un lointain passé, l’EGREGORE, créature maléfique, sans consistance particulière, qui dans l’obscurité de la nuit, s’immisce dans l’activité cérébrale des êtres assoupis, en les accompagnant sans cesse, complices de chaque instant, insufflant idées et gestes, odieux ou à réprouver .
Le cerveau peut venir d’une autre planète sous forme d’un extra-terrestre (le cerveau de la planète AROUS), ou n’a pas envie de mourir malgré sa séparation du corps (The brain that would’t die), se présente sous la forme d’une intelligence artificielle et mécanique (le cerveau d’acier), communique avec un voisin et avec humour (l’homme aux deux cerveaux), subit un lavage de cerveau (soldats prêts ensuite à tuer au signal choisi : un espion de trop). Mais ce sont surtout les chercheurs qui se taillent la part du lion, en tentant physiquement de permuter des cerveaux (cerveaux de rechange, le diabolique Docteur Z), ou par téléportation du contenu de ceux-ci (duplicates, Mémory run) The brain eaters
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Pourtant,
si le cerveau ne peut être touché, et le crâne ainsi
constitué pour le protéger, n’est ce pas en raison
du fait que, si l’homme y parvenait un jour, l’humanité
y perdrait de son originalité par la chute de la multiplicité
des pensées, et y gagnerait peut-être alors tout simplement
sa condamnation, par la perte fatale de son droit à la différence.
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THE
BRAIN EATERS |
Cette
partie anatomique de notre complexe corps humain, fut souvent la convoitise
des chercheurs
en tous genres (§ 10-25 ), et savants de l’impossible. |